It is shown that, when a tooth is partially immersed in a solution of glucose, material is liable to migrate over the unimmersed surface. Methods of preventing this are described. By making autoradiographs of chromatograms on thin paper strips, the very small quantities of active material penetrating to the interior of the tooth have been identified as glucose. Une solution de glucose, contenant du carbone radioactif C 14 , est appliquée à la surface de l'émail de dents saines in vivo . Différentes méthodes ont été essayées pour empêcher la pénétration du glucose sous les autres surfaces dentaires. Le glucose pénètre facilement à travers la surface hydrophil de la dent sous des vernis hydrophobes tels que cire, graisse, poix, vernis à ongle etc… La seule méthode éffective est de sceller un tube étroit de polyéthyléne à la surface de l'émail, puis de le remplir avec la solution radioactive. On bouche le tube et on place le tout dans un dessicateur contenant du P 2 O 5 afin que les autres surfaces dentaires restent sèches. Après plusieurs jours, la solution est enlevée. La dent soigneusement lavée, est débitée en coupes sériées transversales et longitudinales. Des autoradiographies sont faites avec un film radiographique Flurodak. Une activité radioactive a été retrouvée dans l'émail et s'est aussi accumulée dans la dentine et la pulpe. Des fragments ont été prélevés au niveau des coupes autoradiographiques, dans les régions riches en matériel radioactif, et analysés chromatographiquement pour voir s'il s'agissait bien de glucose et non de molécules actives plus petites, produits du métabolisme bactérien ou enzymatique. Le tissu radioactif a été extrait avec de l'eau distillée chaude. Des gouttes d'extrait furent placées sur du papier Whatman No 54 de 1,5 mm de large. Des échantillons de contrôle de glucose radioactif, de lactate et de carbonate ont été placés sur des papiers similaires, ainsi que la série de papiers imbibés avec le mélange standard de n -butyl alcool-acide acétique et d'eau. Finalement, les papiers sont séchés puis autoradiographiés. Il ressort ainsi que la majeure partie de la radioactivité observée au niveau des coupes est bien due au glucose. Eine Lösung von C 14 -markierter Glukose wurde in vitro auf gesunde Schmelzbezirke einer Anzahl von Zähnen gebracht. Hierbei wurden verschiedene Methoden ausprobiert, um die restliche Zahnoberfläche abzudecken, damit die Glukose dort nicht eindringt. Die Glukose zeigte eine starke Tendenz, sich unterhalb der hydrophoben Abdecksubstanzen wie Wachs, Fett, Pech, Nagellack u.a. und auf der hydrophilen Schmelzoberfläche auszubreiten. Als zuverlässig erwies sich allein folgende Methode: Das Ende eines dünnen Polyäthylenschlauches auf der Zahnoberfläche befestigen, einen Tropfen der radioaktiven Flüssigkeit hineinbringen und fest verschliessen. Dann den ganzen Zahn in ein Gefäss mit Phosphor-Pentoxyd bringen, um die übrige Zahnoberfläche trocken und völlig wasserfrei zu halten. Nach einigen Tagen wird der Schlauch entfernt, der Zahn gründlich abgespült und längs oder quer in Serie geschnitten. Von diesen Schnitten wurden autoradiographische Aufnahmen mit Fluorodak-Röntgenfilm hergestellt. Es konnte festgestellt werden, dass die radioaktive Lösung regelmässig den Schmelz durchdrungen und sich im Dentin und der Pulpa angesammelt hatte. An geeigneten Stellen wurde radioaktives Material von den autoradiographisch untersuchten Schnitten abgekratzt und Chromatographiert, um sicherzustellen, dass die durch den Schmelz diffundierte Substanz wirklich Glukose war und nicht kleinere radioaktive Moleküle, die durch bakterielle oder enzymatische Abbauprozesse entstanden waren. Das radioaktive Material wurde mit warmem, destilliertem Wasser extrahiert. Der Extrakt wurde auf 1,5 mm breite Streifen von Whatman-Papier Nr. 54 aufgetragen. Ähnliche Streifen wurden mit Kontrollproben von markierter Glukose, markiertem Lactat und Carbonat beschickt. Die Papierstreifen wurden dann mit einer Mischung von Standard -n- Butyl-Alkohol-Essigs a ̈ ure-Wasser berieselt. Schliesslich Trocknung und autoradiographische Untersuchung der Streifen. Letztere bestätigte, dass es sich bei dem grössten Teil der durch den Schmelz diffundierten radioaktiven Substanz um Glukose gehandelt hatte.