Abstract

It is important to use words rightfully, especially in the law, in order not to betray the reality in a reductive or enhanced way. This article reconsiders the use of the word "beasts", when speaking of animals, and the notion of "animal welfare" in inappropriate contexts. This, for the law and common language to be more fair, towards our fellow nonhuman animals.

Highlights

  • La cause animale est en plein Boom ! Pour preuve les nombreux livres, dont Antispéciste d'Aymeric Caron et depuis peu Révolutions animales dirigé par Karine-Lou Matignon, la médiatisation accrue pour les questions de maltraitance animale, surtout dans les abattoirs grâce aux vidéos de L.214, le débat public sur ces questions, comme le week-end du 21-22 octobre 2016 lors du colloque EGALS à l'Université de Strasbourg, le récent rapport de la Commission parlementaire sur les conditions d'abattage ou encore la nouvelle demande d'une Commission sénatoriale sur les mouvements animalistes, considérés comme "dangereux"

  • face aux lobbis promotteurs de souffrances globales

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Summary

Introduction

La cause animale est en plein Boom ! Pour preuve les nombreux livres, dont Antispéciste d'Aymeric Caron et depuis peu Révolutions animales dirigé par Karine-Lou Matignon, la médiatisation accrue pour les questions de maltraitance animale, surtout dans les abattoirs grâce aux vidéos de L.214, le débat public sur ces questions, comme le week-end du 21-22 octobre 2016 lors du colloque EGALS à l'Université de Strasbourg, le récent rapport de la Commission parlementaire sur les conditions d'abattage ou encore la nouvelle demande d'une Commission sénatoriale sur les mouvements animalistes, considérés comme "dangereux". Et qu’il serait bien plus sensé de les repenser, pour faire évoluer notre perception des animaux et de leur bienêtre. Il plaide contre l’emploi du mot "bêtes" (1) et dans un second temps, vers l’emploi de la notion de "bien-être animal" de manière plus juste (2). Le terme de "bêtes", qui veut bien dire ce qu’il veut dire, reviendrait ainsi à accorder à l’espèce humaine le monopole de l’intelligence et donc à considérer, finalement, les animaux nonhumains comme des "sous-êtres".

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