Abstract

Comme dans beaucoup d’autres langues, le pronom de la deuxième personne du singulier en hébreu moderne sert non seulement à se référer à un interlocuteur spécifique mais aussi en tant que forme impersonnelle. Aussi bien au masculin qu’au féminin, ce pronom est susceptible d’être interprété comme ayant une signification générale, à différents niveaux de généralisation, et son emploi n’est pas toujours prédictible d’après le sexe de l’interlocuteur, du locuteur ou de la troisième personne. Des effets divers et parfois contradictoires sont attribués aux emplois impersonnels du pronom de la deuxième personne : effet d’éloignement d’une part et proximité et solidarité d’autre part. Cette étude se base sur l’analyse des 40 textes authentiques en hébreu parlé de type monologue (22 femmes et 18 hommes)

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