Abstract
The epigraphic document on which this paper is focused is a letter of the Macedonian king Philip V to the boule and the demos of the Athenians of Hephaestia, on the island of Lemnos, which was found in 1938 in the area of the late Roman Telesterion of the sanctuary of the Kabeiroi. A new edition of the inscription is here offered, along with a detailed epigraphic, historical and linguistic commentary. The text is not entirely preserved, and some points of it are quite difficult to interpret. However, the document is extremely interesting, less for its possible connection with specific events than for the information it provides on several historical issues of a more general kind: the relationship between the Antigonid kings and Lemnos; the inner organisation and institutions of the community of the Athenians on the island; Philip V’s ‘religious policy’ as described by the king himself and by literary sources, and so on.
Highlights
C’est une terre idéale, peut-être le pays idéal pour l’épigraphie antique, que représente aujourd’hui l’Italie, non seulement à cause de la coexistence en grand nombre et en proportions équilibrées des inscriptions grecques et des inscriptions latines – sans parler des épigraphies étrusque et italiques, mais aussi grâce à la connaissance simultanée des deux langues anciennes, latin et grec, qui demeurent maîtrisées au meilleur niveau – y compris e.g. la métrique, la philolo-Citation Aneziri, Sofia; Rousset, Denis(2019)
The present paper presents the first volume of Collezioni epigrafiche della Grecia occidentale/Epigraphische Sammlungen aus Westgriechenland
This paper presents E-STAMPAGES, a new digital tool for Greek Epigraphy
Summary
C’est une terre idéale, peut-être le pays idéal pour l’épigraphie antique, que représente aujourd’hui l’Italie, non seulement à cause de la coexistence en grand nombre et en proportions équilibrées des inscriptions grecques et des inscriptions latines – sans parler des épigraphies étrusque et italiques –, mais aussi grâce à la connaissance simultanée des deux langues anciennes, latin et grec, qui demeurent maîtrisées au meilleur niveau – y compris e.g. la métrique, la philolo-. Ne serait-ce pas envoyer le signal le plus clair en faveur de la dépossession de toutes les autres langues, jusques et y compris, par voie de conséquence, le latin et le grec ancien ? Le zèle des ‘épigraphistes’ italiens est illustré encore par les publications, émanant de toutes les universités de la péninsule, que les éditeurs continuent à éditer en des langues variées
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