Abstract

We would like to investigate the recurrence of a thematic complex in a set of horror movies in which the supernatural and terrifying event appears closely related to the resurgence of an ancient trauma, removed and long-buried in the past, who’s trying to come into the light. The trauma is always related to a violence committed against women and children, and are precisely those characters that the supernatural try to get in touch with, looking for contact or out for revenge. The uncanny agent and who’s trying to investigate on him seems to be connected by some kind of affinity of history and life which strongly implicates familiar dynamics.

Highlights

  • La représentation des angoisses liées aux dynamiques familiales, à une époque de transformations sociales intenses et continues telle que la seconde moitié du xxe siècle, occupe une place centrale dans le genre de l’horreur,1 en particulier des années 1970 à nos jours

  • Au moment où la crise éclate, la femme cherche l’aide ou la complicité d’un sujet masculin, qui peut répondre ou non à ses demandes, mais qui est caractérisé —dans un premier temps du moins— par le degré de critique envers le surnaturel indéniablement le plus élevé

  • James (dir.) (2012): The Woman in Black, Richard Jackson et al, Royaume-Uni, Italie, Canada, Suède

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Summary

Quelques caractéristiques communes

La représentation des angoisses liées aux dynamiques familiales, à une époque de transformations sociales intenses et continues telle que la seconde moitié du xxe siècle, occupe une place centrale dans le genre de l’horreur, en particulier des années 1970 à nos jours. Ces films présentent quelques caractéristiques communes, qui ont trait à l’interaction d’une famille composée d’au moins deux générations, parents —mais pas nécessairement : il peut parfois s’agir de personnel soignant, par exemple—, et enfants, avec la menace que constitue le réveil d’une mystérieuse présence surnaturelle qui revient dans le monde des vivants pour se venger, ou la résolution d’un conflit enterré dans le passé. Précisons que nous n’envisagerons que les films dans lesquels le surnaturel, quoique susceptible de revêtir des traits ou des caractéristiques plus ou moins démoniaques, prend la forme d’un fantôme, d’une entité qui a eu une existence humaine avant de mourir, et non d’un simple démon, de nature surnaturelle dès l’origine. Damental que dans tous les films en question ce soient des enfants prépubères à qui il est donné en premier d’avoir des contacts avec des phénomènes qui révéleront ensuite leur nature surnaturelle. L’enfant, vulnérable par nature, l’est donc doublement dans la mesure où la famille, pour tel ou tel motif, ne lui fournit pas la protection dont il aurait besoin

L’oscillation entre crédit et critique à l’égard du surnaturel
La figure masculine comme représentant de la critique du surnaturel
Le trauma commun aux morts et aux vivants
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