Abstract

L’incipit peut répondre à un amas de questions qui concernent les enjeux du jeu autobiographique dans un récit de vie. Il peut comprendre un pacte de données culturelles, où des lectures de l’autobiographe sont affichées. Ces données visent à retrouver l’orientation d’un écrivain vers l’écriture. Il est parfois basé sur des stratégies d’ambiguïté vis-à-vis d’un lecteur étonné face au flou. L’incipit, dans ce cas, fait voir une autobiographie basée sur un dialogue avec un double. Le présent travail se veut une lecture comparative de l’incipit de deux œuvres : Les mots de Jean-Paul Sartre et Enfance de Nathalie Sarraute.

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