Abstract
The purpose of this study was to identify, through self-assessment, how comfortable rural emergency medicine (EM) physicians are in treating critically ill trauma patients, the resources available to treat such patients and their comfort with performing trauma procedures.An anonymous self-assessment survey was e-mailed to family physicians practising rural EM in Saskatchewan regarding training, hospital resources, demographics and self-reported comfort with rural trauma management. We included physicians who had provided EM care within the past year in Saskatchewan outside of the major trauma centres. Comfort was measured on a Likert scale.One hundred thirteen physicians out of a total of 479 physicians contacted agreed to participate (23.6%). Thirty-nine percent (n = 31) of respondents were comfortable with paediatric trauma, and 46% (n = 37) were comfortable with vascular trauma. Nineteen percent (n = 15) were comfortable with pericardiocentesis and 25% (n = 19) were comfortable with cricothyroidotomy. In the past 12 months, 21% (n = 17) had performed paediatric endotracheal intubation, 1.3% (n = 1) had performed cricothyroidotomy, 28.8% (n = 23) had performed needle thoracentesis and 20% (n = 16) had performed central venous line access. Those who did their residency training outside of Canada were more comfortable with overall trauma care. Those who had taken emergency department echo were generally more comfortable with trauma procedures. Those who had current advanced trauma life support were more comfortable with less frequently encountered aspects of trauma care.This self-assessment helped us identify which aspects of rural trauma medicine are the most challenging for rural practitioners. It gave us an understanding of the procedures related to trauma medicine that are the most difficult, which critical resources are available and where training could be focused to benefit rural emergency physicians.RésuméIntroduction: Cette étude avait pour but d'identifier, par l'entremise d'une auto-évaluation, l'aisance des urgentologues en milieu rural à traiter les patients polytraumatisés en état critique, les ressources disponibles pour traiter ces patients et l'aisance avec laquelle ils exécutent les interventions de traumatologie. Méthodes: Un questionnaire d'auto-évaluation anonyme a été envoyé par courriel aux médecins de famille qui pratiquent dans les services d'urgence ruraux de la Saskatchewan; le questionnaire portait sur la formation, les ressources hospitalières, les paramètres démographiques et l'aisance rapportée par les répondants quant à la prise en charge des traumatismes en milieu rural. Nous avons inclus les médecins qui avaient dispensé dans l'année écoulée des soins d'urgence à l'extérieur des grands centres de traumatologie en Saskatchewan. L'aisance était mesurée sur une échelle Likert. Résultats: Sur un total de 479 médecins contactés, 113 ont consenti à participer (23.6%). Trente-neuf pour cent (n = 31) des répondants étaient à l'aise avec les traumatismes pédiatriques et 46% (n = 37) avec les traumatismes vasculaires. Dix-neuf pour cent (n = 15) étaient à l'aise avec la ponction péricardique et 25% (n = 19) avec la cricothyroïdotomie. Dans les 12 mois écoulés, 21% (n = 17) avaient exécuté une intubation endotrachéale pédiatrique, 1.3% (n = 1) une cricothyroïdotomie, 28,8% (n = 23) une thoracentèse à l'aiguille et 20% (n = 16) un accès veineux central. Les médecins qui avaient reçu leur formation en résidence à l'extérieur du Canada étaient plus à l'aise avec les soins de traumatologie en général. Les médecins qui avaient suivi le cours d'échographie du département d'urgence étaient en général plus à l'aise avec les interventions de traumatologie. Les médecins qui avaient une certification advanced trauma life support étaient plus à l'aise avec les aspects moins fréquents des soins de traumatologie. Conclusions: Cette auto-évaluation nous a aidés à déterminer quels aspects de la médecine de traumatologie rurale sont les plus problématiques pour les praticiens en milieu rural. Elle nous a permis de comprendre quelles sont les interventions de traumatologie qui sont les plus difficiles, quelles ressources essentielles sont disponibles et sur quels aspects la formation doit se concentrer pour profiter aux urgentologues en milieu rural. Mots-clés: prise en charge des traumatismes en milieu rural, médecine de traumatologie rurale, Trauma, rural, médecine d'urgence.
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