Abstract

The escalation in armed attacks on Nigeria's oil industry and the massive expansion in oil theft generated a veritable industry in the study of the political economy of war dominated by public-choice strands. Critical scholarship on the Niger Delta challenges this work for its neglect of history in explaining the shift from peaceful protest in the 1990s to armed struggle. Yet taking history seriously need not blind us to the ‘critical breaks’. Nigeria's transition to civilian rule in 1999 brought state and non-state actors into a complicit union as rebellion and oil bunkering consolidated a pre-existing parallel economy. [L'économie politique du pétrole et la « rébellion » dans le Delta du Niger, fief du Nigéria]. L'escalade dans les attaques armées sur l'industrie pétrolière du Nigéria et l'expansion massive dans le vol de pétrole ont généré une véritable industrie dans l'étude de l'économie politique de la guerre, dominée par quelques choix publics. L'étude critique sur le Delta du Niger conteste ce travail pour sa négligence de l'histoire pour expliquer ce passage de la manifestation pacifique dans les années 1990 à la lutte armée. Pourtant prendre l'histoire au sérieux ne doit pas nous aveugler sur « les ruptures critiques ». La transition du Nigéria vers un régime civil en 1999, a amené les acteurs de l'Etat et ceux qui ne relèvent pas de l'État à se fondre dans une union de complicité dès lors que la rébellion et le vol de pétrole avaient consolidé une économie parallèle préexistante. Mots-clés : le pétrole ; la sécurité ; le Delta du Niger ; l'économie politique ; le militantisme ; l'identité

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