Abstract
Alors que la loi générale de l'église imposait des limitations à la possibilité de produire un héritier par son opposition à la polygamie et au divorce suivi de remariage et en imposant une importante restriction à l'endogamie, ces mêmes limitations s'étaient dévelopées dans le contexte du mariage – un soucis majeur de l'église – plutôt que dans celui de la famille. A partir d'autres points de vue, les canonistes essayaient d'aider la continuation de la famille par leur soutien de la légitimation. On ne rencontre aucune opposition à l'adoption dans la loi générale de l'Eglise: elle présume l'adoption. L'article suggère que dans la recherche de facteurs qui ont contribué à façonner la famille européenne, il faudrait porter plus d'intérêt au rôle joué par l'Eglise dans l'accentuation croissante du droit de l'individu d'opter pour le célibat ou pour le mariage, et dans ce dernier cas, le droit de choisir un(e) conjoint(e)
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