Abstract

Il est rare qu’un meme nom d’artisan soit present sur plusieurs inscriptions monumentales de l’Iran medieval. Or, S. Aube a releve trois fois dans la Grande mosquee de Yazd celui d’un certain Kamāl, calligraphe signant des panneaux ou des frises, et l’a retrouve, quoique decline sous deux autres variantes, a Taft et a Ispahan. Cette multiplicite des occurrences semble bien constituer un unicum dans l’epigraphie qarā qoyunlu et āq qoyunlu au XVe siecle. Forte de cette decouverte, l’auteur soul...

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