Abstract

Les lois casuistiques du Deuteronome et le Code de Saintete prevoient la peine de mort pour les deux partenaires d'un commerce adultere. Mais il est risque de soutenir que cette legislation reflete la pratique reelle. Au contraire, la litterature sapientiale, les prophetes (Ezechiel 16 notamment), les recits historiques (Tamar et Juda, David et Bath-seba, etc.) refletent une attitude plutot laxiste. Implications methodologiques generales de ce constat de contraste entre lois et pratique ethique courantes.

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