Abstract

Résumé Si l’art rupestre des chasseurs-collecteurs d’Afrique australe est très connu, c’est peut-être moins pour lui-même que pour l’approche « neuropsychologique » qu’il a inspirée à des chercheurs d’autres régions. Pourtant, un bref survol historique montre que les vues de George Stow, le fondateur des recherches sur cet art (ou cette ensemble de séquences artistiques) au xix e siècle a définitivement déterminé les approches ultérieures. Certains pensent que les directions de recherches prises depuis les années 1980, reliant les arts des San à des rituels chamaniques et au fonctionnement neuronal de tous les humains modernes, ont révolutionné notre compréhension de l’art rupestre d’Afrique du Sud. Dans cet article, j’expose que ce changement d’explication est un produit du temps. Le retour à la façon de voir de Stow, étonnante bien que limitée, permet d’alimenter un retour des recherches en art rupestre vers une compréhension plus large, interdisciplinaire, des arts visuels des San et de leurs prédécesseurs préhistoriques.

Full Text
Paper version not known

Talk to us

Join us for a 30 min session where you can share your feedback and ask us any queries you have

Schedule a call

Disclaimer: All third-party content on this website/platform is and will remain the property of their respective owners and is provided on "as is" basis without any warranties, express or implied. Use of third-party content does not indicate any affiliation, sponsorship with or endorsement by them. Any references to third-party content is to identify the corresponding services and shall be considered fair use under The CopyrightLaw.