Abstract

En 1923, le Gouvernorat de Rome, sous le contrôle direct de MUSSOLINI, lance un ambitieux programme de rénovation urbaine du centre historique. Ce programme est basé sur une double idéologie, l’idéologie européanisée de la modernisation et de l’hygiène urbaine, et l’idéologie personnelle de la ville de MUSSOLINI. À Rome, rénover, c’est fatalement sélectionner certaines traces patrimoniales et en sacrifier d’autres ; ces choix ont été largement étudiés avec l’analyse politique et architecturale. Cette contribution s’intéresse à la gouvernance des opérations de rénovation pour lesquelles le régime dictatorial a œuvré avec des entreprises privées et parapubliques. La politique de la ville de MUSSOLINI doit être réinscrite dans les logiques de marché immobilier. Nous verrons les conséquences spatiales de la rénovation et les enjeux de patrimoine et de développement économique qui y sont liés.

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