Abstract
This article examines three critical issues relating to the role of culture in teaching English as an international language (EIL): Firstly, the way in which top-down processes of globalisation, accompanied by the widespread desire for English in many former colonial countries, have in general fostered the negative effects of dominance, divisiveness and difference in world social relations, resulting in the suppression and devaluation of local forms of knowledge and practice. Secondly, the way in which shifts of ownership and authority to non-native speakers and their varieties of English in combination more recently with global cultural flows, have created the need for reconceiving English as a pluralised global language, informed by local norms, functions and practices, reflecting a fluid and multiple cultural base. Lastly, it explores the way in which an ecological approach to English language teaching, which is oriented to ‘globalisation from below’ (Appadurai, 2000; Canagarajah, 2005), and which opens up a dialogical relationship between the global and the local, might help speakers in ex-colonial settings to reclaim their local identity and voice and thus realise the potential of globalisation to construct more inclusive, democratic relationships. Cet article examine trois problèmes cruciaux relatifs au rôle de la culture dans l'apprentissage de l'anglais en tant que langue internationale. Premièrement, il examine comment le processus ‘top-down’ de mondialisation, accompagné du désir répandu pour l'anglais dans plusieurs anciennes colonies a, en general, encouragé les effets négatifs de dominance, de dissension et de différence dans les rapports sociaux dans le monde. Le résultat en est la suppression et la dévalorisation des formes et des pratiques locales. Deuxièmement, il examine comment les déplacements de propriété et d'autorité qui désormais incombent les interlocuteurs non-natifs et leurs variétés d'anglais, depuis peu en cumul avec le flux culturel mondial, ont crée le besoin de reconceptualiser l'anglais comme une langue mondiale plurale alimentée en des normes, fonctions et pratiques locales reflétant une base culturelle multiple et fluide. Dernièrement, il explore comment une approche écologique à l'apprentissage de la langue anglaise, orientée vers la mondialisation par en-dessous (Appadurai, 2000; Canagarajah, 2005), et qui ouvre un rapport dialogique entre le mondial et le local, pourrait aider les interlocuteurs qui se trouvent dans les situations ex-coloniaux, à récuperer leurs identité et voix locales et ainsi à réaliser le potentiel de mondialisation afin d’établlir des rapports plus inclusifs et démocratiques.
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