Abstract

RésuméDifférentes méthodes complémentaires permettant d’optimiser le diagnostic et le pronostic des lésions observées dans un laboratoire d’anatomopathologie ont permis, ces dernières années, d’améliorer considérablement l’offre de soins aux patients. Ces méthodes correspondent essentiellement aux techniques d’immuno-histochimie et de biologie moléculaire. La place d’une autre technique autrefois largement utilisée en anatomopathologie, la microscopie électronique (ME), est à l’inverse de plus en plus restreinte. La ME est une méthode longue, difficile, onéreuse, nécessitant un personnel hautement qualifié. Elle est de moins en moins implantée dans un laboratoire de pathologie et devient surtout réservée à des centres universitaires et de recherche. Toutefois, la ME reste un outil indispensable pour le pathologiste. En effet, elle permet parfois de confirmer, et plus exceptionnellement de poser, le diagnostic de certaines lésions tissulaires et cellulaires observées en pathologie humaine. La ME est aussi d’un apport très important pour la compréhension de la physiopathologie de certaines maladies humaines émergentes, notamment d’origine infectieuse. Nous abordons dans cette revue les principales indications actuelles de la ME, en insistant sur certains domaines de la pathologie humaine, comme les maladies infectieuses et certaines tumeurs.

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