Abstract

Bien que la loi de 1987 instituant l'Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) ne fasse aucune mention de la productivité, celle-ci se trouve aujourd'hui au cœur des priorités. Je fais valoir que la modification du mandat de l'APECA reflète l'essor d'une idée que d'autres spécialistes ont appelée le « productivisme » : la notion voulant que la croissance économique (généralement sous la forme d'une hausse de productivité) est une bonne chose en soi. Cette idée a façonné non seulement le programme d'action d'autres organismes gouvernementaux, mais aussi tout le projet de redistribution régionale, les conceptions de l'unité nationale et la façon dont les experts et les profanes comprennent ce qu'est l'économie canadienne et comment elle fonctionne.

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