Abstract

Cet article revient à l’idée benjaminienne du montage comme méthode historiographique et propose des stratégies pour la reprise au cinéma d’un groupe d’images récemment retrouvées, concernant l’amnistie brésilienne. Principe organisateur de la masse documentaire d’une époque, le montage cite le passé et rend visible l’histoire. Deux approches esthétiques de ce procédé sont évaluées dans ce documentaire : l’association du matériel d’archive à une parole actuelle et la valorisation du témoignage du document même.

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