Abstract

Dehydration has long been shown to reduce physical performance, cognitive function, and alertness in a range of athletic and non-athletic populations. The motor sport needs several perceptive and neuromuscular skills to adequately perform the race. Describe the hydration practices and dehydration prevalence in elite motor sport athletes. Equipment and methods used: the sample consisted of four distinct groups of drivers; motorcycle riders ( n = 7), quad riders ( n = 4), car drivers ( n = 8), and truck drivers ( n = 4). The urine samples and a brief questionnaire to assess hydration habits and practices were collected after the race. Urine specific gravity was determined for hydration status. During the race, subjects consumed water (82%) and isotonic drinks (18%). After the race, athletes consumed energy drinks (17%), beer (13%), soft drinks (26%), water (30%), and isotonic drinks (13%), and showed a mean urine specific gravity of 1.031 ± 0.02 g·mL −1 , with drivers showing a significant and serious dehydration, 29% and 71% respectively. Our results show that rally racers present an important dehydration status after finishing the stage, in addition to inadequate rehydration strategies. Il a été classiquement montré que la déshydration réduisait la performance physique et cognitive ou la vigilance dans des populations entraînées ou non entraînées. Les sports mécaniques requirent des capacités neuromusculaires aussi bien que perceptives pour réaliser de façon optimale la course. Décrire les habitudes d’hydratation et l’apparition de déshydratation chez des pilotes élites de sport mécanique. La population se composait de quatre types de pilotes ; des pilotes de moto ( n = 7), de quad ( n = 4), de voiture ( n = 8) et de camion ( n = 4). Des échantillons urinaires ont été prélevés ainsi qu’un questionnaire pour identifier l’apparition de la déshydratation. La densité urinaire a été utilisée pour analyser la déshydratation. Pendant la course, les sujets ont consommé de l’eau (82 %) et des boissons isotoniques (18 %). Après la course, les athlètes ont consommé des boissons énergétiques (17 %), de la bière (13 %), des boissons sucrées (26 %), de l’eau (30 %) et des boissons isotoniques (13 %) et des valeurs moyennes de densité urinaire de 1,031 ± 0,02 g·mL −1 ont été relevées indiquant une déshydration sévère allant de 29 % à 71 %. Les résultats montrent que les pilotes de rallye présentent une déshydration importante à la fin de la course et utilisent des stratégies d’hydratation inappropriées.

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