Abstract
Dans son ouvrage Particles : On the syntax of verb-particle, triadic, and causative constructions (1995), M. den Dikken observe que les particules prepositionnelles en anglais peuvent se placer avant ou apres l'objet direct, mais que les possibilites de placement de la particule sont plus minces quand il s'agit de combinaisons avec verbe transitif + particule qui acceptent un predicat. Ces dernieres constructions etant extremement rares, il conclut que les jugements des locuteurs concernant le placement de la particule doivent deriver de la grammaire universelle et que l'etude de ces constructions offre une chance d'analyser les mecanismes de la GU. Dans cet article, l'A. presente les points forts et les points faibles de l'argumentation de den Dikken et appuie sa theorie par des donnees issues de langues amerindiennes et africaines
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