ON THE CORROSION BEHAVIOUR OF ELECTROLESS NICKEL–BORON COATINGS IN BASIC SOLUTIONS

Abstract

The corrosion behaviour of electroless nickel-boron (EN-B) coatings on 70:30 brass and AA6061 with a boron content of 6 wt% was investigated using potentiodynamic techniques in 0.5 M sodium hydroxide and the results were compared with those of a nickel-phosphorus (EN-P) coating with a phosphorus content of 6 wt%. As well, the effect of heat treatment (5-120 hours at 493 K) on the corrosion resistance of the electroless nickel-boron coating was investigated. It was found that EN-B suffered a decrease in corrosion resistance with heat treatment. In addition, the EN-B coatings were found to be inferior to the EN-P with respect to corrosion resistance. Based on polarization curves and X-ray diffraction (XRD) spectra, it is postulated that the poor performance results from a shift from a largely amorphous to an increasingly crystalline material during the heat treatment process. The presence of a phosphate-based protective layer for the EN-P samples is viewed as a contributor to the better corrosion resistance of EN-P.On a étudié le comportement de corrosion de revêtements autocatalytiques de nickel–bore (EN-B) sur du laiton 70:30 et sur AA6061, avec une teneur en bore de 6% en poids, en utilisant des techniques potentiocinétiques dans de l’hydroxyde de sodium à 0.5 M et l’on a comparé les résultats avec ceux d’un revêtement de nickel–phosphore (EN-P) ayant une teneur en phosphore de 6% en poids. On a également étudié l’effet d’un traitement thermique (5-120 h; 493 K) sur la résistance à la corrosion du revêtement autocatalytique de nickel–bore. On a trouvé que le EN-B souffrait d’une diminution de la résistance à la corrosion avec le traitement thermique. En plus, on a trouvé que les revêtements de EN-B étaient inférieurs au EN-P par rapport à la résistance à la corrosion. En se basant sur les courbes de polarisation et sur les spectres de XRD, on propose que le faible rendement résulte d’un changement de matériau presque totalement amorphe en un matériau de plus en plus cristallin lors du procédé de traitement thermique. On considère que la présence d’une couche protectrice à base de phosphate des échantillons de EN-P contribue à la meilleure résistance à la corrosion du EN-P.