Abstract

L’application des notions de code et de contrainte à la poésie anglaise des xvie et xviie siècles paraît à première vue aller de soi, puisque la littérature de cette époque est fondée sur l’imitation de codes et de topoï. Sir Philip Sidney, dans son recueil de sonnets Astrophil and Stella, semble pourtant amorcer une révolte poétique contre cette obligation. Néanmoins, il se conforme à une nouvelle contrainte, celle de la poésie pétrarquienne de l’amour impossible, exprimée dans les poèmes par une réflexion sur l’écriture poétique qui semble vouée à l’échec.

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