Abstract

La période de 1918 à 1930 fut témoin de l’émergence du documentaire comme pratique formellement et sémantiquement différente d’autres formes « nonfictives ». À la même époque apparaissait aussi un cinéma “expérimental” sciemment affilié aux soi-disant avant-gardes historiques. Puisque le terme persiste toujours à notre ère de postmodernisme digital, nous sommes en droit d’examiner les implications de cette persistance en rapport à l’image documentaire. Par exemple, faudrait-il développer une approche multi-temporelle des histoires et pratiques du cinéma et du documentaire? Un bon point de départ pôur explorer ces implications est l’oeuvre de Dziga Vertov, qui met en question l’opposition entre le documentaire et le cinéma expérimental et qu’on peut considérer par l’intermédiaire de la théorie des médias digitaux de Lev Manovich et du concept de « l’histoire sublime » de Frank Ankersit.

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