Abstract
La façon dont l’œuvre de Joyce Wieland a été conceptualisée par le discours dominant sur l’art et le cinéma canadien empêche un questionnement plus large de son rôle historique, politique et culturel. Cet article démontre, d'une part, que la notion de « cinéma élargi » de Gene Youngblood permet de situer le travail de Wieland à l’intérieur du mouvement de synesthésie artistique des années 1960. D’autre part, nous situons Wieland à l’intersection de la seconde vague féministe et des idéologies nationalistes qui émergent à la même époque pour élucider son articulation symbolique de la nation canadienne, des notions de citoyenneté et des différences sexuelles.
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