Abstract

RésuméDES MÉTHODES DE CLASSER LES ÉLEVÈS DE PREMIÈRE ANNÉE DANS UNE ÉCOLE SECONDAIRE.A cause de la difficulté d'établir un seul examen d'entrée pour les élèves qui commencent leurs études secondaires, et du manque de validité des résultats de l'école primaire, comme pronostic de l'accomplissement futur dans l'école secondaire, l'on tenta dans une école l'expérience de reclasser les élèves après un examen, basé sur le travail du premier mois, et un test d'intelligence. On repartit alors les élèves dans cinq classes, A, B, C, D et E. Des examens passés en décembre et en mai de chacune des deux premières annés furent adoptés comme la mesure de l'accomplissement des garçons dans les classes A, B, C et D (E étant omise comme ayant un programme plus limité). Le calcue des coefficients de corrélation, et la comparaison des méthodes diverses de classement, donnèrent les résultats suivants: (a) Il faut se méfier en classant des élèves ayant déjà quelque expérience du travail de l'école secondaire, puisque leurs notes peuvent être trop élevées. (b) Le I.Q. tel que l'établit le “Simplex Group Intelligence Scale” de Richardson n'est pas en luimême un guide valable pour le classement des élèves. (c) Les notes des examens de la fin du premier mois montrent une corrélation assez élevée (environ 0.72) avec les examens subséquents de la première et de la seconde année. (d) Une combinaison des I.Q.'s avec les notes du premier examen (en ajoutant à celles‐ci une augmentation compensatrice) donnent une corrélation encore plus élevée (environ 0.76) avec des examens subséquents. (e) Une comparaison des bases variérs du classement indique que la note combinée donne le groupement le plus homogène dans les diverses classes. Dans cette école l'on adopté la note combinée comme la base reconnue du classement dans la première année.ZusammenfassungEINTEILUNGSMETHODEN BEI SCHÜLERN DER ERSTEN KLASSE AN EINER HÖHEREN SCHULE.Wegen Schwierigkeiten bei der Einführung einer allgemeinen Aufnahmeprüfung für Knaben, die auf eine höhere Schule wollen, und wegen der UnZuverlässigkeit der Ergebnisse in der Volksschule im Vorhersagen künftiger Leistung in einer höheren Schule, versuchte man, die Schüler nach einer Prüfung, die sich über den Unterrichtsstoff des ersten Monats erstreckte, und nach einem Intelligenztest einzuordnen. Man teilte dann die Schüler in fünf Begriffsklassen A, B, C, D und E. Die Dezember‐ und Maiprüfungen in jedem der ersten zwei Jahre der höheren Schule wurden der Masstab für die Leistungen der Knaben in A, B, C, und D genommen: ausgelassen wurde E wegen eines beschränkteren Lehrplans. Als man die Korrelationen und die verschiedenen Einteilungsmethoden verglich, ergab sich Folgendes: (a) Man soll sich bei der Beurteilung von Knaben in acht nehmen, die schon Erfahrungen im Unterricht der höheren Schule haben, da am Ende des ersten Monats ihre Zensuren zu gut sein können. (b) Der von Richardsons “Simplex” Gruppenintelligenzskala bestimmte Intelligenzquotient ist an sich kein sehr zuverlässiger Masstab bei der Einordnung der Schüler. (c) Die Septemberzensuren haben eine ziemlich hohe Korrelation (annähernd 0,72) mit späteren Prüfungen im ersten und zweiten Jahr. (d) Eine Verbindung der Intelligenzquotienten und der Zensuren in der Septemberprüfung (wobei man diesen grösseren Wert beimass als jenen) korreliert noch höher (circa 0.76) mit späteren Prüfungen. (e) Ein Vergleich der verschiedenen Grundlagen der Einteilung weist darauflün, dass die kombinierte Zensur die genaueste Gruppierung in den verschiedenen Begriffsklassen ergibt. Man hat die kombinierte Zensur als eine zuverlässige Basis der Beurteilung im ersten Jahr in der Schule aufgenommen.

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