Abstract
Le secret des affaires constitue une des caractéristiques principales du capitalisme de la seconde révolution industrielle. La diffusion des informations comptables était limitée au minimum légal. L’étude des sociétés concessionnaires de l’Afrique-Équatoriale française conduit cependant à un constat inverse, puisque les informations comptables relatives au prix de revient étaient largement diffusées. Nous cherchons à comprendre les raisons de ce paradoxe apparent en étudiant les discours produits par les sociétés concessionnaires, en nous concentrant sur un épisode révélateur, la crise du caoutchouc de 1913. Cette réflexion permet alors de caractériser les spécificités du contexte colonial et la différence avec le capitalisme métropolitain.
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