Abstract

Les promesses des accords de paix de 1996 — notamment l’accord relatif aux réformes constitutionnelles et au régime électoral — et les diverses tentatives de réformes électorales successives devaient permettre davantage de transparence et une participation accrue des secteurs de la société historiquement marginalisés (en particulier les Autochtones) à la vie politique du pays. Pourtant, le système de partis et plus généralement de représentation politique au Guatemala continuent d’être marqués par le manque d’ouverture, le clientélisme et la corruption. Les perspectives pour les élections de 2023 tendent à confirmer le constat d’une grande faiblesse institutionnelle et d’une représentation démocratique très limitée, voire menacée par un retour à des formes autoritaires d’exercice du pouvoir.

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