Abstract

Á partir de l’exemple de la vallée du Trombetas (Pará), nous analysons l’évolution des pratiques migratoires des populations forestières d’Amazonie et leurs interactions avec certains phénomènes démographiques : décohabitation, primo-fécondité et primo-nuptialité. Aujourd’hui, la plupart des familles réussissent à fréquenter la ville de façon régulière grâce à des systèmes de mobilités articulant dispersion résidentielle et complémentarité des fonctions au sein du ménage. Chez les jeunes filles, la mobilité rurale-urbaine est fréquemment motivée par l’accès aux services scolaires et s’accompagne d’une décohabitation précoce. Parallèlement, on observe un rajeunissement de la fécondité.

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