Abstract

En marge du modèle dominant de monopole de l’association majoritaire dans les rapports collectifs du travail, le pluralisme syndical s’est exprimé de longue date au Québec et nécessite un aménagement normatif approprié. Le présent article vise à identifier les enjeux d’un tel aménagement à partir d’une étude comparative de trois cas, soit : 1- la participation des associations accréditées aux comités d’équité salariale; 2- le traitement des plaintes relatives au maintien de l’équité salariale dans des entreprises où plus d’une association accréditée représente des salariés; et, 3- la participation des associations syndicales à la négociation des conventions collectives sectorielles de l’industrie québécoise de la construction. L’analyse des solutions retenues par le législateur dans ces trois cas permet de mettre au jour une tension entre efficacité et participation des salariés, ainsi que de discuter des conséquences de celles-ci pour la démocratie au travail.

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