Abstract
Thematically omnipresent, the specular construction of identity plays a key role as a structural device in Michel Tournier’s works. The permanent dialogue between opposites, together with a multi-layered referential system, constantly obliges us to redefine the generic status of his texts. This paper analyses this issue in “Que ma joie demeure” (1978), published a few months later than Le Vent Paraclet, the only “autobiographical” text by the author. By taking as a reference the clown character and the dynamics of the circus show, and following Walter Benjamin’s concepts of Erlebnis and Erfahrung, we propose two possible and complementary readings of the tale. Both of them focus on the triple procedure of inversion, mythification and appropriation, used by Tournier to question the constitutive unit of the individual and to blur the limits between (auto)biography and fiction.
Highlights
Pero el procedimiento que más profundamente permite acceder a la interioridad de Raphaël es el discurso indirecto libre, que recoge los pensamientos del protagonista: “Il lui aurait été pénible de s’asseoir [...] cette épreuve sacrilège” (Tournier, 1978b: 89-90), “Et c’était ce déballage ignoble [...] dont il se faisait le complice actif” (Tournier, 1978b: 91) , “Jamais il ne redescendrait [...] mais il n’y avait plus rien à y apprendre” (Tournier, 1978b: 93), “Que joua-t-il ce soir-là?” (Tournier, 1978b: 95), “Si des milliers de bourreaux l’abrutissaient de leurs rires bestiaux, du moins avait-il l’avantage de ne pas les voir” (Tournier, 1978b: 98)
Alo largo de la paulatina bajada a los infiernos que supone su trayectoria como artista de sala de fiestas y circo, se nos muestra a un Raphaël Bidoche torpe, que no sabe cómo actuar, aplastado por la acción del público, “cinglé par les flashes des photographes, les gestes désajustés par la panique” (Tournier, 1978b: 94)
Summary
Pero el procedimiento que más profundamente permite acceder a la interioridad de Raphaël es el discurso indirecto libre, que recoge los pensamientos del protagonista: “Il lui aurait été pénible de s’asseoir [...] cette épreuve sacrilège” (Tournier, 1978b: 89-90), “Et c’était ce déballage ignoble [...] dont il se faisait le complice actif” (Tournier, 1978b: 91) , “Jamais il ne redescendrait [...] mais il n’y avait plus rien à y apprendre” (Tournier, 1978b: 93), “Que joua-t-il ce soir-là?” (Tournier, 1978b: 95), “Si des milliers de bourreaux l’abrutissaient de leurs rires bestiaux, du moins avait-il l’avantage de ne pas les voir” (Tournier, 1978b: 98).
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