Abstract

Plus de 90 pays en développement ont ratifié le Protocole de Carthagène sur la prévention des risques biotechnologiques. Ils peuvent ainsi mettre en place des législations leur permettant notamment de refuser l’importation d’organismes vivants modifiés, en l’absence de certitude scientifique sur les risques liés à ces OVM. Le principe de précaution devrait pouvoir guider la décision et l’action des États signataires. Mais tel n’est pas le cas. Les mécanismes de régulation du Protocole se renforcent progressivement dans les enceintes internationales. Cependant la mise en oeuvre dans les pays en développement se heurte à un manque de moyens humains, techniques et financiers. Parallèlement à cela, ces mêmes pays sont soumis à de fortes pressions extérieures.

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