Abstract

Pourquoi Ludwig Wittgenstein était-il fasciné par certaines œuvres du grand écrivain suisse Gottfried Keller ? Cette question a intrigué Jacques Bouveresse et le fruit de cette interrogation a donné son ouvrage Le danseur et sa corde, Wittgenstein, Tolstoï, Nietzsche, Gottfried Keller et les difficultés de la foi (Marseille, Agone, 2014). Dans l’échange qui suit, organisé en mai 2017 par la section genevoise de la Société suisse de philosophie, Jacques Bouveresse et Ruedi Imbach se penchent sur le titre de cet ouvrage, sur l’intention qui a présidé à sa rédaction, mais aussi sur la critique aiguë du christianisme institutionnel, surtout dans sa version doctrinale et doctrinaire, dans certaines œuvres de Keller, ainsi que sur le fort intérêt de Wittgenstein pour ces œuvres et pour cette critique. Les deux auteurs s’accordent pour dire que le christianisme ne s’enseigne pas : il est plutôt quelque chose qui relève de la vie.

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