Abstract
L’article examine comment la double composition du manuscrit BnF, fr. 23111, qui comprend des textes ascétiques et des textes d’inspiration lyrique, influe sur la définition qu’il propose de la joie et induit une réflexion sur les conditions dans lesquelles le langage du joi profane peut être convoqué pour décrire la joie d’aimer Dieu. En analysant successivement les relations entre joie et joi dans leurs rapports à l’amour, au désir et à la performance poétique, il sera possible d’observer comment ce manuscrit, probablement copié à destination de religieuses, encadre strictement les expressions spirituelles de la joie amoureuse.
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