Abstract

Les récents films d’épouvante japonais, connus collectivement sous le terme de « J-Horror », exemplifient le phénomène de la dispersion transnationale d’un cinéma digital multî-médiatîque qui est, paradoxalement, déterminé par des contingences culturelles, industrielles et économiques régionales. Le potentiel véritable du cinéma digital ne se retrouve pas dans les effets spéciaux générés par ordinateur qui apparaissent dans la série Star Wars, mais plutôt dans les mouvements régionaux, comme le « J-Horror », qui renversent le courant traditionel des capitaux et de la culture, c’est-à-dire, le monopole hollywoodien. Ce phénomène n’est pas nouveau dans l’histoire du cinéma. Ce qui le rend unique est le déploiement vernaculaire de sa spécificité médiatique, temporelle et régionale.

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