Abstract

Nous montrons que les arbres de Galton–Watson multitypes, dont les lois de reproduction sont irrductibles et de matrices de covariance finies, admettent pour limite d’chelle l’arbre continu brownien. La clef de notre tude est une dcomposition ancestrale pour les arbres multitypes marqus, et une mthode par rcurrence sur le nombre de types. Nous couplons ensuite la structure gnalogique avec des dplacements spaciaux, dont la loi de saut peut dpendre localement de la structure de l’arbre, et nous montrons que les arbres spatiaux obtenus convergent vers le serpent brownien, sous certaines hypothses de moments.

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