Abstract
Au Burkina, l’analyse de la vulnérabilité et de la pauvreté a été dominée par l’approche monétaire. Cette étude s’appuie sur la formule généralisée de l’indice de pauvreté de Foster et al. pour définir de nouveaux concepts de pauvreté à partir de la satisfaction des besoins alimentaires et énergétiques. Nos résultats montrent que l'analyse monétaire tend à sous-estimer l’incidence de la pauvreté dans la mesure où elle ne prend pas suffisamment en compte le capital social et le fonctionnement des institutions.
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