Abstract
La population mondiale connait ces dernières décennies une épidémie des maladies non transmissibles, tels que l'obésité, le diabète et les maladies cardiovasculaires (MCV). En 2012, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a recensé 56 millions de décès dans le monde, parmi lesquels 68% (38 millions de décès) étaient secondaires aux maladies non transmissibles, notamment les MCV (17,5 millions de décès) [1]. En Algérie, selon les données de l'Institut National de Santé Publique, les MCV constituent également la première cause de mortalité [2]. Malgré les importants progrès enregistrés dans leur prise en charge, la prévalence de ces pathologies ne cesse de croitre, rendant leur prévention une priorité majeure, devant agir sur leur origine.
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