Abstract
Soulignant l'interet croissant de l'esthetique evaluative pour la metacritique, l'A. etudie la rupture entre la critique et la theorie esthetique a travers l'ouvrage de J. Casey intitule «Le langage de la critique» (1966). Examinant l'argument de la suffisance de la critique et de la redondance de la theorie, l'A. defend la complementarite des reponses qu'apportent les deux disciplines en matiere d'evaluation de l'activite artistique. L'A. s'appuie sur l'exemple des approches biologiques et ethnologiques de l'art.
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