Abstract

La pièce de Jean Anouilh L’Alouette , donnée pour la première fois à Paris (1953), fut adaptée aux États-Unis par Lillian Hellman. Acclamée par la critique , The Lark fut jouée en 1955 et son succès aux États-Unis s’explique de plusieurs façons. La dramaturge décrit une Pucelle à la poursuite d’objectifs qui lui sont propres et la pièce a recours aux flashbacks ainsi qu’à une fin aussi heureuse qu’inattendue. Cette adaptation de Hellman vient à point, tant sa scène finale présente à l’Amérique une vision d’espoir après la catastrophe de la Seconde Guerre mondiale.

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