Abstract

Au Niger, le désengagement de l’État de la gestion des grands aménagements hydro-agricoles dans les années 1980 a conduit à un transfert des responsabilités aux organisations paysannes. L’article analyse les dynamiques de construction de nouvelles règles de gestion locale des aménagements et leur pérennité. L’analyse s’articule autour de la notion de "gouvernance hybride", processus enchâssé dans la structure sociale qui garantit l’accès à l’eau mais pas nécessairement la viabilité technico-économique des aménagements.

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