Abstract

L’adaptation d’un collimateur sténopéique à la caméra à scintillations entraîne une importante distortion d’efficacité géométrique dont il doit être tenu compte dans l’interprétation morphologique et, principalement, dynamique des résultats.Une étude théorique préliminaire justifie l’utilisation d’une matrice bidimentionnelle de facteurs de correction.Ceux-ci sont appliqués à l’image scintigraphique ou aux courbes dynamiques par l’intermédiaire d’une mémoire à 4.096 canaux.Est ainsi rendue possible la comparaison quantitative, statique ou dynamique, des activités de régions non symétriques par rapport à l’axe central de détection.

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