Abstract

Ectopic pregnancy (EP) is a common diagnosis, frequently misdiagnosed early in its presentation and a leading cause of first trimester mortality. Ultrasound (US) is a key component of evidence-based diagnostic algorithms. We present a systematic review on the frequency of the use of US in the diagnosis of EP in Sub-Saharan Africa. A librarian-assisted search of PUBMED, EMBASE, Cochrane, Web of Science, and POPLINE databases was performed. Inclusion criteria were original research studies that reported the proportion of patients receiving US as part of a workup for EP in a Sub-Saharan African country. Abstracts were reviewed and those potentially meeting criteria had a formal survey of the manuscript. The initial search revealed 784 original publications. Manual review of abstracts narrowed this to 91 papers with potential relevance, and 12 studies were included in the final analysis. A total of 6055 patients diagnosed with EP were included. 8.7% received a pregnancy test. 92.3% were ruptured at the time of presentation. 42.9% were in shock and 75.8% received red blood cell transfusion. 73.7% were unaware of the pregnancy and 24.9% were seen by a healthcare worker prior to presentation, 1.1% of patients died. Overall, 12.6% received US to aid in the diagnosis. In this study, overall utilisation of US in the diagnosis of EP was found to be low. In this population, patients presented late and critically ill, obviating the need for US in many cases. However, studies in Sub-Saharan Africa in populations of patients with similar rates of late presentations have shown a substantial increase in the diagnosis of unruptured EP with the routine use of US. La grossesse ectopique (GE) est un diagnostic courant, faisant fréquemment l’objet d’erreurs de diagnostic précoces lors de la consultation, et l’une des principales causes de mortalité au cours du premier trimestre. L’échographie est une composante clé des algorithmes de diagnostic scientifiquement fondé. Nous présentons ici une analyse systématique du recours à l’échographie dans le diagnostic de la GE en Afrique subsaharienne. Une recherche dans les bases de données PUBMED, EMBASE, POPLINE, Cochrane et Web of Science, assistée par un bibliothécaire, a été réalisée. Les critères d’inclusion étaient des études scientifiques originales faisant état de la proportion de patientes faisant l’objet d’une échographie dans le cadre d’un bilan sur la GE dans un pays d’Afrique subsaharienne. Les résumés ont été consultés, et les articles susceptibles de répondre aux critères ont fait l’objet d’un examen détaillé. L’étude initiale a identifié 784 publications originales. L’examen manuel des résumés a permis de réduire ce chiffre à 91 articles susceptibles d’être pertinents, et 12 études ont été incluses à l’analyse finale. Au total, 6 055 patientes diagnostiqués comme souffrant d’une GE ont été inclus. 8,7 % se sont vus administrer un test de grossesse. 92,3 % souffraient d’une grossesse rompue au moment de la consultation. 42,9 % étaient en état de choc et 75,8 % ont reçu une transfusion de globules rouges. 73,7 % n’étaient pas conscientes de la grossesse, et 24,9 % en avaient été informées par un agent de santé avant la consultation. 1,1 % des patientes sont décédées. Au total, 12,6 % ont passé une échographie en appui au diagnostic. Dans cette étude, le recours général à l’échographie pour diagnostiquer une GE était faible. Dans cette population, les patientes consultaient tardivement et en état critique, éliminant la nécessité d’un recours à l’échographie dans nombre de cas. Cependant, des études menées en Afrique subsaharienne auprès de populations de patientes présentant des taux de consultation tardive similaires ont indiqué une augmentation substantielle du diagnostic de GE sans rupture grâce au recours systématique à l’échographie.

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