Abstract

Un homme schizophrène de 36 ans, en conflit chronique avec son frère de 37 ans à propos de la gestion de la maladie de leur mère, le tue avec préméditation d’un carreau d’arbalète dans la tête après avoir ingéré de l’alcool et des substances psychotropes. Reconnu responsable malgré ses troubles mentaux graves, il est condamné à 23 ans de réclusion criminelle et 15 ans de suivi socio-judiciaire. Cette observation pose une fois encore le problème des relations entre la pathologie mentale sévère, le passage à l’acte homicide et le degré de responsabilité pénale de l’auteur des faits criminels.

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