Abstract

La réactivation aiguë du pulsionnel infantile pendant la période périnatale produit également des effets durables dans la relation mère-enfant tout au long de la vie. Ces effets touchent aux assises du féminin de la femme, susceptible de n’être pas suffisamment intégré dans le maternel et de donner lieu à des déliaisons ouvrant à des dérives pathologiques. Cet article s’intéresse aux difficultés de traitement psychique de « l’excès pulsionnel » propre au maternel, lorsque l’actualisation du sexuel infantile a nécessité l’usage de défenses répressives drastiques, entravant l’accueil et l’élaboration du pulsionnel chez la mère et chez l’enfant.

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