Abstract

Tout au long de presque quarante années de règne, Carlos II d'Evreux (1350-1387) sollicita et obtint de nombreuses et importantes aides économiques. Cette fiscalité extraordinaire prit l'apparence, dans bon nombre de cas, de revenus fixes et garantis pour les finances royales de Navarre. Un des cas les plus manifestes de cette fiscalité occasionnelle, mais pas pour cela moins coûteuse, est, peut-être, la demande de 120 mille francs or afin de payer la dot de l'infante Juana, future épouse du Duc de Bretagne, Jean IV, comte de Montfort et de Richemont. Une somme aussi élevée échoit sur une population déjà pratiquement saignée à blanc sur le plan fiscal. Aussi, le fait d'exiger que ce paiement s'effectue en monnaie or, rendit ce paiement encore plus accablant. Malgré tout, dans une première tentative on obtint la somme de 112.118 livres, 19 sols et 2 deniers, dont seulement 16,48 % est versée en monnaies d'or ou d'argent comme cela avait été convenu à l'origine. Les versements suivants offrirent un pourcentage chaque fois inférieur. Devant les difficultés qui se présentent pour faire honneur à la demande du duc, la famille royale de Navarre en vient à vendre des bijoux et de la vaiselle pour une valeur de 714 marcs d'argent, si on calcule selon le poids produit par les marcs de Pampelune. Cette quantité d'argent ajoutée aux livraisons en monnaie et à l'or monnayé sont une bonne base pour établir et mesurer l'écoulement monétaire entre ces deux petits états, même si on le considère comme occasionnel. Les différentes cotisations que l'on trouvera reproduites dans leurs différents cadres, pourront contribuer à une meilleure connaissance de l'histoire monétaire de l'Occident au Mayen Age.

Highlights

  • EL SISTEMA IMPOSITIVO Y EL PROCEDIMIENTO RECAUDATORIOA lo largo de los casi cuarenta años de reinado, Carlos 11 (13 50-1387) solicitó numerosas ayudas económicas a los Tres Estados, reunidos en las Cortes del Reino

  • One of the most obvious cases of this occasional tax system, but not the less expansive, is, maybe, to have asked for 120 chousand golden francs to pay the dowry of che Infanta Juana, che future spouse of che Duke of Bretagne, Jean IV, Earl of Montfort and Richemont

  • Such an important amount fell on a population already very much overburdened with caxes. lt is che reason why, che express requirement that this payment was ro be satisfied in golden francs, which made chis amount in even more oppressive

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Summary

EL SISTEMA IMPOSITIVO Y EL PROCEDIMIENTO RECAUDATORIO

A lo largo de los casi cuarenta años de reinado, Carlos 11 (13 50-1387) solicitó numerosas ayudas económicas a los Tres Estados, reunidos en las Cortes del Reino. En los primeros días de mayo de 138 5, algo menos de un año para afrontar el pago de la dote de su hija Juana, Carlos II envió una desesperada requistoria a su maestro de la moneda -Pelegrín del Sert-, en la que muestra con toda su crudeza la delicada situación económica. Para atender uno de los plazos, el rey obtuvo de las Cortes una ayuda de setenta mil francos, lo que en moneda navarra equivale a 170.987 libras, 17 sueldos, dineros. Esta operación debía ser contemplada desde una doble vertiente; de una parte, recibir efectivamente esa cantidad, y de otra conseguir el mayor número de monedas de oro y plata, para que se evitase -en la medida de lo posible- la compra de monedas fuertes con los maltrechos carlines, en piezas de grosses de cuatro sueldos. Además, como recuerdo afectuoso al desaparecido maestro

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Clerecía
Tudcla
Almiradíos de Roncal y Salazar
Préstamo
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Nobles de la O
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