Abstract

Seulement trois documentaires muets indiens existent toujours. Au-delà de l'analyse textuelle, l'examen de ces films soulève plusieurs questions historiographiques, telles que la formation accidentelle du canon reliée au hasard de la survie ou de la disparation des oeuvres; les conditions de lecture partielle que ces films permettent; les relations entre le cinéma local et le cinéma colonial, en particulier pour les films de promotion de la Indian Railways; et les styles de photographies déployés dans ces documentaires, tel le pittoresque.

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