Abstract

This paper examines how Caribbean young people utilize community and family networks to re-affirm notions of cultural, ethnic and family belonging. At a community level, this occurs through Caribbean young people's participation in black-led institutions and agencies within their local communities and neighbourhoods. At a family level, the young people are involved in kinship activities and practices that develop and maintain social networks at localized and transnational levels. Bonding social capital operates as a valuable social resource, which embeds the young people within their family and community networks. It also provides a platform from which they can bridge, and access relationships and resources, across diverse ethnic groups. The analysis shows that these young people's desire for kinship and cultural belonging must be understood within the wider context of social exclusion and disadvantage in British society. However, there are some negative consequences associated with bonding social capital for the individual, family and society. The discussion is based on qualitative interviews with 30 second and third generation Caribbean young people (age between 16 and 30 years old), and their views concerning family and community in ethnic identity formation. Cet article examine la manière dont les jeunes d'origine caribéenne utilisent les réseaux de famille et de communauté pour ré affirmer des concepts d'appartenance culturelle, ethnique et familiale. Au niveau de la communauté ceci se fait à travers la participation des jeunes aux institutions et organismes dirigés par des Noirs à l'intérieur de leur communauté locale et son voisinage. Au niveau de la famille, les jeunes sont impliqués dans des activités et des pratiques de parenté qui développent et maintiennent en vie des réseaux sociaux au niveau local et transnational. La formation de liens affectifs en tant que capital social constitue une ressource sociale appréciable qui incorpore les jeunes dans les réseaux de famille et de communauté. Ceci fournit également une plateforme d'où ils accèdent à des relations et des ressources à travers divers groupes ethniques. L'analyse démontre que le désir d'appartenance culturelle et familiale pour ces jeunes doit être compris dans le contexte plus large de l'exclusion sociale et la discrimination dans la société britannique. Cependant il existe quelques conséquences négatives associées à la formation de liens affectifs en tant que capital social pour l'individu, la famille et la société. Cette discussion est fondée sur des entretiens de qualité avec une trentaine de jeunes du deuxième et troisième génération d'origine caribéenne (âgés entre 16–30 ans), qui expriment leurs idées en ce qui concernent la famille et la communauté dans la formation d'identité ethnique. Caribéen, famille, communauté, formation de liens affectifs en tant que capital social, identité, ethnique, jeunes

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