Abstract

Traditionnellement déposés en paire sur un autel, de part et d’autre du tabernacle, les anges adorateurs étaient autrefois sculptés par les mêmes artistes qui réalisaient les décors intérieurs des églises et chapelles catholiques. Une paire de ces statuettes, anciennement à l’Hôpital général de Québec, s’inscrit dans une série d’une douzaine d’anges agenouillés de sources diverses, dont l’attribution a radicalement changé il y a quelques années. Les annales du Monastère des Augustines nous révèlent leur provenance et leur destin inattendu.

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