Abstract

Après les attentats du 11 mars 2004, les stations du « Corridor de Henares », une ligne de train de banlieue au sud de Madrid, furent utilisées pendant trois mois comme des arènes publiques pour exprimer diverses émotions. Cet article analyse un aspect spécifique de l’univers émotionnel des mémoriaux populaires créés dans ces stations: les références aux États-nations comme marqueurs identitaires et territoriaux. Il se focalise en particulier sur les émotions exprimées par les personnes s’identifiant dans leurs messages à d’autres pays que l’Espagne, de manière à mettre en lumière les interrelations entre émotions et pays d’origine.

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