Abstract

Les activités anthropiques sont la seule responsable principale de tous les désastres environnementaux. Les inquiétudes résident dans la difficulté des scientifiques à prévoir à long terme les retentissements de cette destruction sur les compartiments de l’environnement. Les ménages du quartier Mbuku utilisent sans cesse les matières énergétiques pour assurer leur survie. Ces matières semblent être couteuses au regard de leurs revenues journaliers, mensuels et même annuels. Ces matières sont notamment : les bois, braises, pétroles, piles, et le groupe électrogène qui font partie de leur quotidien, avec des conséquences sur l’environnement. Par ignorance, ces ménages gaspillent énormément les ressources tant naturelles que financières. Des grosses sommes d’argent sont engagées dans les dépenses pour ces matières, alors que la facture de la SNEL serait moins chère, rationnelle et favorable à l’équilibre écologie - économie. Les tableaux nous renseignent que les quantités en kg et les montants en franc congolais sont l’œuvre de ces ménages au détriment de l’éco- économie. Les bois, braises et les pétroles ont l’usage journalier, les piles et groupe électrogène sont utilisés hebdomadairement. De ce fait, ces ménages ne sont pas favorables à la jonction entre l’écologie et l’économie. Après une enquête et analyse, le bilan écologique de ces ménages du quartier Mbuku est négatif.

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