Abstract

Parathyroid hormone (PTH) has important applications in the clinical practice both primary (PHP) and secondary (SHP) hyperprathyroidisms. However, assays of PTH are liable to interferences. This study is aimed at assessing diagnostic efficiency of different PTH assays associated with pertinent markers of mineral metabolism. We studied 84 patients prior to and three to six months after successful parathyroidectomy (PTX) for PTH and pertinent chemistries. Prospectively, 171 subjects on the whole were assessed for I-PTH by four methods (N-Tact, Advantage, Elecsys, Scantibodies), whole-(1–84) PTH, defined as Cyclase Activating PTH (CAP), total and ionised calcium, phosphate, vitamin D, osteocalcin and crosslaps. There were significant changes of PTH after PTX and these were paralleled by concurrent changes in pertinent chemistries. Despite relating to each other (r > 0.97), PTH values varied remarkably among methods. For all, reference intervals differed from those provided by the producer. Ten CaSF had over-range values not always associated with abnormalities of mineral metabolism. One of the PHP patients was normal for I-PTH with 2/4 methods. Among HD differences among methods were even greater, there were direct relationships with osteocalcin and crosslaps (p < 0.001). The percentage CAP over total PTH was mildly lower in HD, with wide overlapping among groups. This study outlines that reliability of I-PTH assays is still unsatisfactory and none of the four methods emerged as the best. We suggest PTH assay should always be coupled with measurements of other markers of mineral metabolism and renal function as well. La parathormone (PTH) joue un rôle clé dans la régulation du métabolisme minéral osseux et son dosage est important pour le diagnostic des hyperparathyroïdismes primaire (PHP) et secondaire (SHP). C’est pourquoi, il est impératif de connaître les interférences liées à ce dosage. Cette étude a pour but de montrer l’efficacité diagnostique du dosage de PTH associé aux autres marqueurs du métabolisme osseux. Dans cette étude, nous avons suivi 84 patients au cours des trois à six premiers mois après leur parathyroïdectomie réussie (PTX) avec dosage de la PTH et d’autres paramètres. Par ailleurs, dans un but prospectif, nous avons suivi 171 sujets chez qui nous avons dosé la I-PTH par quatre techniques différentes (N-Tact, Advantage, Elecsys, Scantibodies), la PTH (1-84) totale dosée par CAP, le calcium total et ionisé, le phosphore, la vitamine D, l’ostéocalcine et les Cross Laps. La différence entre la I-PTH Scantibodies et la CAP représente la Cyclase Inhibiting PTH (CIP). Il y a une variation significative de la PTH après PTX et des modifications parallèles des autres marqueurs. Les résultats divergent selon les techniques mais tous sont bien corrélés (r > 0,97). Parmi les patients souffrant de lithiases rénales, dix avaient des valeurs hors normes de la PTH, pas toujours associées à d’autres anomalies du métabolisme osseux. Un des patients souffrant de PHP avait des taux de I-PTH normaux par deux méthodes sur quatre. Parmi les hémodialysés, la dispersion des résultats était encore plus importante. Toutes les PTH étaient corrélées à l’osteocalcine et aux crosslaps (p < 0,001). Le pourcentage de CAP par rapport à la totale-PTH était plus bas chez les HémoDialysés, mais avec une zone de recouvrement importante entre les groupes. Nos résultats mettent en évidence la persistance du problème de fiabilité du dosage de I-PTH ; parmi les quatre méthodes étudiées il ne semble pas qu’il y en ait une qui émerge par rapport aux autres. Il est par conséquent conseillé de toujours coupler le dosage de la PTH à celui d’autres paramètres du métabolisme minéral osseux et à l’évaluation de la fonction rénale.

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